dimanche 6 juillet 2008

Nous noctambul(l)ons



Certains osaient avancer que la locura* s'était évaporée, une fois le trio délié.
Nous avons du prouver qu'il n'en était rien. Ô sourires convaincus, on les a eu.
Une nuit sans prétention initiale, entre tartiflette, accessoires de clown, danse à tourne-va, perchoir, lever de soleil et maté sur les toits ...
Et toujours ces abrazos, ya pas qu'aux Stazunis qu'on hug, les bras refuges et les "tu me manqueras". Inévitables, à notre bon cœur.

"Vous viendrez en Europe ? Ouai on ira, chez toi, chez Ju, et on voyagera ensemble et ..."

Des paroles nocturne, des projets qui disparaîtront sûrement une fois les étoiles planquées de nouveau dans le bleu-nuage. Pas grave, on s'en fait vérité d'une nuit, et déjà ça suffit.

C'était une très longue nuit, et on aurait voulu la faire durer encore beaucoup plus. J'aurais pu m'en aller loin le lendemain, avec l'impression d'avoir vécu le meilleur. Un vrai beau moment.
Il reste une semaine, on en fabriquera d'autres. On a des mains et des idées. On peut.








Buenos Aires querida, sepalo : todavía estamos !

*locura : folie, la notre.

2 commentaires:

Steph a dit…

Mi querida Buenos Aires... querida locura perdida ... pero seguro mas locura para el futuro, con otro y diferente pero siempre maravilloso ...
Besos a la Elo que va a descubrir todo eso ... y asi cuando nos vemos podemos compartir recuerdos que sean los mismos.

mrWak a dit…

Sounds wonderful even though...