Aca estamos.
Je flemme des mots, je reviendrai vous conter ca plus tard. On reste ici au moins jusque lundi, dans notre cabane en bois au fond du jardin d'un vieux hippie, entre le potager, les hamacs, les chiens et la rivière si près.
EDIT : On y est resté trois nuits, dans notre cabane au fond du jardin de Nahuel Porro, ses yeux bleus rivières, ses animaux en coloc et le poele à gaz qui s'éteignait à tout souffle, nous faisant développer des merveilles d'imagination pour créer des sources de chaleurs au Ranchito, de la sequestration de chat aux casseroles d'eau bouillantes. Elo a vu ses 21ans fêtés dignement et follement, comme il faut dans ce beau trou du monde. J'ai oublié que j'avais peur des chiens. On a fait la course avec les poules, et la rivière, écouté de la musique des Indes dans les Andes, dansé irlandais, fait de la soupe et des crèpes.
On y venait sous les conseils orientés de mon collegue Rodri, qu'on n'a finalement pas vu. Et peu importe au final, on a eu la Onda du Bolson, on a compris pourquoi beaucoup nous affirment sans concertation que c'est un des plus beaux endroits du monde. Sans l'époustouflance de Barriloche et ses lacs, Bolson brille pourtant autant. On reviendra pour sur, en été cette fois.
vendredi 18 juillet 2008
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1 commentaire:
Le mot des quatres jours :
Waaaaaa ou wooooow (plusieurs significations)
- On est vraiment obligées de partir ?
- Mais comment il s'allume ce biiiiiip de chauffage ?
- Ya Tom Sawyer et un karateka des cavernes dans la maison...
- T'es vraiment sûre qu'on doit partir ?
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